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Holland Colours

Holland Colours société Hollandaise cotée à la bourse d'Amsterdam (HOLCO), spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de colorants et de systèmes d’enduction destinés essentiellement aux secteurs du BTP et de l’emballage.

L’activité du groupe s’organise autour de 2 familles de produits :

  • colorants et systèmes d’enduction : destinés à la coloration de matériaux en aluminium, de profilés, d’emballages plastiques, de produits en PET, en PVC souples (jouets, ballons, tapis d’acheminement, etc.), d’élastomères, etc.
  • produits colorants de spécialités : destinés à la coloration de bâches, de chaussures, de vêtements, de papiers peints, etc.
Sites de production principaux implantés aux Pays Bas, en Hongrie, aux Etats-Unis, en Indonésie, en Chine, au Mexique et au Canada.

Résultats 1er semestre 2017/18


  • Poursuite de la croissance des revenus
  • Chiffre d'affaires du premier semestre de 42,4 millions d'euros contre 39,0 millions d'euros en hausse de 8,7%
  • L'impact des devises  USD/GBP a été négligeable
  • Marge brute impactée négativement par des coûts de matières premières plus élevés , pénuries de dioxyde de titane et de silicone.
  • Le revenu opérationnel augmente à 4,6 Mio contre 4 millions, la marge opérationnelle est en hausse de 11% contre 10%, l'année précédente, grâce notamment à une réduction des dépenses opérationnelle de 0,5 million.
  • Résultat net: 3,3 millions d'euros contre 2,6 millions d'euros en hausse de 26,9%
  • Le bénéfice par action du semestre est de 3.79 contre 3.04 en hausse de 24,7%.


Le marché de l'emballage est un marché en croissance,les revêtements, les silicones et les adhésifs se distinguent également, la couleur continue à jouer un rôle important.
La construction connait un ralentissement dû à l'affaiblissement de la livre sterling et a un marché US stagnant.

De nombreux défis liés à la sécurité des contacts alimentaires et aux besoins en matière de recyclage se posent en Europe et en Amérique du Nord, mais aussi en Asie.

Durant les prochains mois, la hausse des matières premières et la volatilité du dollar et de la livre sterling peuvent impacter négativement l'entreprise.
HCA, comme a son habitude ne livre aucune information quant aux résultats futurs.

Le ROI est de 24,2%, le PER prospectif est  de 11,4, le bilan est solide, HCA n'a aucune dette et son ratio courant est de 2,59.

À l’avenir la société continuera de bénéficier de l’amélioration de l’économie mondiale, mais avec une incertitude au niveau politique et de l’évolution des taux de change et des matières premières.

Grille d’analyse des états financiers de l’entreprise : HOLLAND COLOURS
Fin de l'exercice financier: 31-mars

Période TTM 2017 2016 2015 2014 2013 TCA
Chiffre d’affaires  80892 77485 73732 68246 65950 65904 4.1%
Bénéfice par action 6.79 6.03 4.23 4.02 4.12 3.40 15.4%
Flux de trésorerie libre 1330 3786 5717 4577 4511 4933 -6.4%
EBITDA 9808 11563 8080 6971 7419 6893 13.8%
Dette nette -3698 -7515 -5666 -1624 1279 4194 15.7%
Cours en bourse 83.50 66.75 41.62 40.08 23.72 17.31 40.1%
Capitalisation boursière 71843 57430 35810 34489 20411 14896 40.1%
Valeur d'entreprise 68145 49915 30144 32865 21690 19090 27.2%
RATIOS MOY
Ratio cours / bénéfice 12.30 11.07 9.84 9.97 5.76 5.09 8.35
Ratio cours / val cptable 2.06 1.60 1.12 1.12 0.79 0.59 1.04
Ratio cours / Ventes 0.89 0.74 0.49 0.51 0.31 0.23 0.45
Ratio cours / FCF 54.02 15.17 6.26 7.54 4.52 3.02 7.30
VE/EBITDA 6.95 4.32 3.73 4.71 2.92 2.77 3.69
Marge nette 7.6% 7.0% 4.9% 5.0% 5.4% 4.4% 5.3%
Rendement des fonds propres (ROE) 17.54% 15.03% 11.28% 11.22% 13.61% 11.66% 12.6%
Retour sur capitaux investis (ROIC) 19.88% 25.90% 14.77% 11.74% 13.85% 10.86% 15.4%
Ratio dette nette/ capitaux propres -10.6% -20.9% -17.7% -5.3% 4.9% 16.7% -4.5%
Dette nette / EBITDA -0.38 -0.65 -0.70 -0.23 0.17 0.61 -0.16
Ratio de liquidité générale 2.59 2.45 2.55 2.19 2.37 2.20 2.35
ratio de liquidité réduite 1.59 1.75 1.82 1.59 1.62 1.44 1.64

Grille d’analyse du potentiel de rendement  sur  : 4.35  ans
Cours au  24/11/2017 85.00
Taux de croissance moyen du b/a  14.1%
Ratio cours bénéfice moyen  8.35
Mon taux de croissance du b/a anticipé (an+3 à an+5) :  12.0%

b/a au 03/2017 2018 2019 2020 2021 2022 Ratio c/b prév. Cours cible / rendement annualisé potentiel 
6.03 6.95 7.75 8.68 9.72 10.89 14.00 153.00
TC 15.3% 11.5% 12.0% 12.0% 12.0%
14.5%

Figeac-Aero

Figeac Aéro (FGA), cotée à la bourse de Paris est un sous-traitant aéronautique implanté dans le Lot.

La société a été créée en 1989 par Jean-Claude Maillard, il en est toujours l’actionnaire principal.

En 1994, le groupe Figeac-Aéro est créé, le groupe compte actuellement  8 filiales en France, Tunisie, Maroc, États-Unis et Mexique, il compte également 2 partenaires Avantis et Usicap, la croissance se fait tant en interne que par achat d’entreprise.

Figeac est introduite en bourse en 2013, en 2016, après une troisième augmentation de capital, Figeac est transféré dans le compartiment B de la bourse de Paris.

Figeac est un partenaire de premier plan des grands industriels de l’aéronautique Airbus, Boeing, Dassault, Safran, Lisi, Zodiac, Latécoère, Embraer, Bombardier ….

FIGEAC-AERO propose à ses clients des prestations complètes, depuis l’étude, jusqu’à la réalisation de sous-ensembles aéronautiques tels que pièce de structure, pièces de moteurs, pièces de précision pour train d’atterrissage, inverseurs de poussée …

En 6 ans, Figeac a multiplié par 3 son chiffre d’affaires et par 17 son résultat opérationnel courant.

Pour atteindre ses objectifs Figeac investis massivement dans son appareil de production et en recherche et développement.

Figeac surfe sur un double phénomène la croissance continue du secteur aéronautique qui double de taille tous les 15 ans et un recours croissant des donneurs d’ordre à la sous-traitance.

Jean-Claude Maillard le patron visionnaire de Figeac, résume ainsi dans son style inimitable les perspectives de son groupe.

« Quand on a démarré il y a 20 ans, on ne savait pas percer un trou. Maintenant, on sait faire, il y a un marché, il n’y a qu’à se baisser pour ramasser de l’argent. Si on ne se démerde pas dans les vingt ans qui viennent, je crois qu’on est vraiment les rois des cons ! ».

Premier semestre 2017-18 (clos fin septembre)

  • La marge opérationnelle courante de 11,1% s'améliore de 0,4 point
  • Le chiffre d'affaires de 170,4 millions est en hausse de 16,5%, malgré une couverture de change défavorable qui a eu un impact négatif de 2,6 Mio
  • L'EBITDA est en hausse de 8,5% à 35,8 Mio, la marge est de 21% ce qui intègre l'impact négatif des devises de 1,3 Mio et un impact dilutif de Auvergne Aéro de 1,4 Mio, la marge à périmétrie et à taux de change constant est de 22,4%
  • Le free cash-flow en nette amélioration +46% à -24,3 Mio contre -45,3 un an plus tôt.
  • Bénéfice net en hausse de 20,8% à 15,7 Mio.

Revenu 4e trimestre

Chiffre d'affaires en croissance de 14% sur 12 mois en dépit d'un change €$ défavorable à taux de change constant la croissance est de 19,1%. Au 4T le chiffre d'affaire a crû de 15,6% et de 23,8% à taux de change constant.

La dépréciation du $ ainsi que le portage matière des donneurs d'ordre aura un impact estimé sur l'activité de l'exercice 2017/18 de -23 millions.

Figeac réaffirme son objectif de free cash-flow en forte amélioration -35 millions en mars 2018 contre -86 millions un ans plus tôt. L'objectif de free cash-flow positif et récurrent  à partir de mars 2019 est réaffirmé. Figeac réduit son BFR en transférant l'approvisionnement matières vers ses clients finaux.


En mars 2020 FGA anticipe un chiffre d'affaires de 650E sur base d'un cours €/$ de 1,18, des cadences communiquées par les constructeurs et à une croissance externe.

Ratios

Le PER estimé de 17,4 et le PEG de 0,83 sont modéré, le ratio courant de 1,79 est bon, le ROE est de 16,1%.

Perspectives

Figeac confirme ses objectifs à moyen terme, conforté par le gain de nouveau contrat, un flux de trésorerie libre positive à partir de fin mars 2019 et un chiffre d'affaires d'au moins 650 Mio durant l'exercice 2019-2020.

Le groupe continue sa politique ambitieuse d’investissement, notamment ceux dédier au moteur LEAP et fait d’importants efforts de R&D notamment dans de nouveaux process d’usinage de produit complexe.

Le carnet de commandes est bien orienté.

Le groupe a une dynamique de croissance élevée pour le second semestre, la forte croissance attendue sera tirée principalement par le programme A350 d’Airbus et la montée en puissance des livraisons pour le moteur LEAP.

L’acquisition d’Auvergne Aéronautique finalisée en novembre 2016 s’intègre parfaitement dans le plan du développement du groupe qui vise le leadership de la sous-traitance européenne aéronautique en 2020.

Comme le prévoit son plan, Figeac poursuivra activement sa croissance avec à partir de 2019 une génération de cash flow récurrent.

Les investissements diminueront progressivement dans les prochaines années à 50 Mio lors du prochain exercice, les besoins en fonds de roulement exprimés en jour se réduiront également.

L’objectif 2020 est confirmé. Le chiffre d’affaires d’au moins 650 Mio est déjà sécurisé à 90% sur base des cadences annoncée par les avionneurs, soit un taux de croissance annuelle d’au moins 26% sur les 3 prochaines années.

Jean-Claude Maillard, a laissé entendre qu’il voyait plus grand encore. « Je n’attendrais pas d’avoir 70 ans pour parvenir au milliard de chiffre d’affaires« , a-t-il déclaré sur le ton de l’humour.

Figeac pourrait bien devenir un partenaire de rang un pour Boeing, actuellement il est sous-traitant via Spirit AeroSystems.

Figeac réfléchit aussi à une implantation en Chine.


Figeac a un bilan solide, est modérément valorisé, a une croissance élevée et son carnet de commandes important lui donne une bonne visibilité.

Dernière nouvelles


  • Figeac signe le contrat le plus important de son histoire, plus de 600 millions de dollars sur une durée de 10 ans avec Spirit AeroSystems.

Grille d’analyse des états financiers de l’entreprise : FIGEAC AERO
Fin de l'exercice financier:
31-mars

Période TTM 2017 2016 2015 2014 2013 TCA
Chiffre d’affaires  348928 324732 252344 207580 162325 137129 24.1%
Bénéfice par action 1.10 1.02 1.18 -0.78 0.60 0.45 22.7%
Flux de trésorerie libre -86372 -100342 -61239 -44000 -25049 -21184 47.5%
EBITDA 70168 61554 54388 47459 33362 30696 19.0%
Dette nette 248485 207932 96607 113788 92813 76168 28.5%
Cours en bourse 20.00 20.64 21.46 18.85 12.46 0.00 18.3%
Capitalisation boursière 636618 656971 603889 522701 331757 0 25.6%
Valeur d'entreprise 885103 864903 700496 636489 424570 0 26.8%
RATIOS MOY
Ratio cours / bénéfice 18.18 20.24 18.19 20.77 19.73
Ratio cours / val cptable 2.63 3.11 3.28 8.56 4.83 0.00 4.40
Ratio cours / Ventes 1.82 2.02 2.39 2.52 2.04 0.00 2.19
Ratio cours / FCF -7.37 -6.55 -9.86 -11.88 -13.24 0.00 -8.91
VE/EBITDA 12.61 14.05 12.88 13.41 12.73 0.00 13.24
Marge nette 10.1% 10.0% 13.2% -10.4% 9.8% 8.7% 6.3%
Rendement des fonds propres (ROE) 14.52% 15.39% 18.08% -35.30% 23.23% 30.98% 10.5%
Retour sur capitaux investis (ROIC) 8.72% 7.83% 8.37% 11.07% 9.61% 13.41% 10.1%
Ratio dette / capitaux propres 102.6% 98.4% 52.5% 186.3% 135.0% 197.0% 133.9%
Dette nette / EBITDA 3.54 3.38 1.78 2.40 2.78 2.48 2.56
Ratio de liquidité générale 1.79 1.87 2.43 2.13 2.00 1.83 2.05
ratio de liquidité réduite 0.57 0.72 1.20 0.82 0.78 0.65 0.83

Grille d’analyse du potentiel de rendement  sur  : 3.83 ans
Cours au  02/06/2018 17.42
Taux de croissance moyen du b/a  19.5%
Ratio cours bénéfice moyen  19.73
Mon taux de croissance du b/a anticipé (an+3 à an+5) :  16.0%

b/a  Mar/17 b/a Mar/18 b/a Mar/19 b/a Mar/20 b/a Mar/21 b/a Mar/22 Ratio c/b prévisionnel Cours cible / rendement annualisé potentiel 
1.02 1.11 1.41 1.64 1.90 2.20 18.00 40.00
TC 8.8% 27.0% 16.0% 16.0% 16.0% 24.2%
Par Patrick VB

Portefeuille en euro, le retour

Après un intermède de près de 3 ans durant lequel je publiai mon portefeuille sur http://www.investir-a-la-bourse.com/ (qui va disparaître) je reprends la publication de mon portefeuille en euro ici.

Règles et philosophie du portefeuille:

  • La plupart des actions sélectionnées le sont en fonction de critères d'investissement dans la valeur et/ou dans le momentum, ce qui implique un biais "petite et moyenne capitalisation".
  • Des valeurs de qualité, avec un avantage compétitif, peuvent faire partie du portefeuille même si elles ne répondent pas aux critères "value" traditionnels.  
  • Une valeur n'intègre le portefeuille que si elle a de bonnes perspectives à long terme. 
  • Une valeur individuelle ne pourra pas dépasser 15% du portefeuille
  • Aucun renforcement ne sera fait si une valeur a un poids dépassant de 10%. 
  • Aucune valeur spéculative ne sera achetée, le futur d'une valeur doit pouvoir être raisonnablement anticipé au moment de l'achat.
  • Une valeur sera vendue, si elle ne répond plus aux critères d'achat ou si elle est arbitrée en faveur d'une valeur ayant de meilleures perspectives
  • La composition du portefeuille répond aux règles d'une saine diversification, pas de concentration excessive tant au niveau des valeurs que des secteurs.
Le portefeuille actuel compte 20 valeurs dont 8 se trouvait déjà dans mon ancien portefeuille (début 2015) ce qui démontre la stabilité du portefeuille.

Toutes les valeurs sont cotées en euro dans une bourse d'Europe occidentale, actuellement le portefeuille compte des valeurs française, belge, hollandaise, italienne et allemande.

Denières opérations:

  • Le 16/11/2017: dividende d'AB Inbev pour un total net de 21,6€
  • Le 24/11/2017: Achat de 60 actions Figeac au prix de 16,55 pour un total frais inclus de 998,96€. À la suite des résultats du 3e trimestre et à l'annonce d'une perte de change, une réaction excessive à la baisse s'en est suivie,  alors que les résultats sont bons.

Portefeuille

Depuis le 4/2/2015 la performance cumulée du portefeuille est de 104,5% contre 65,9% pour son indice de  référence le Stoxx NR soit une superformance de  38,6%; annualisé ces valeurs sont respectivement de 29%, 19,8% et 9,3%.

Titres Date entrée Symbole  boursier Nbre Cours Prix achat  Rdt %  Val Pond.
Microwave Vision 16/10/17 ALMIC.PA        220 9.55 9.63 -0.83% 2101.00 2.12%
Kerlink 09/10/17 ALKLK.PA          50  19.69 20.52 -4.04% 984.50 0.99%
Abbey Plc 03/10/17 DOY.IR        100 14.25 14.54 -1.99% 1425.00 1.44%
Cegedim 30/05/17 CGM.PA          70 31.95 30.40 5.10% 2236.50 2.25%
Neways Electronics International 21/02/17 NEWAY.AS        100 14.05 10.07 39.52% 1405.00 1.42%
Anheuser-Busch InBev 02/12/16 ABI.BR          18 98.68 92.50 6.68% 1776.24 1.79%
Ingenico SA 05/09/16 ING.PA          58 85.14 83.91 1.46% 4938.12 4.98%
Figeac Aéro 22/08/16 FGA.PA        340 16.40 19.25 -14.81% 5576.00 5.62%
Ferrari 04/01/16 RACE.MI          63 94.45 42.37 122.94% 5950.35 6.00%
Servizi Italia SpA 07/08/15 SRI.MI        780 6.22 4.49 38.64% 4855.50 4.89%
NN Group 01/06/15 NN.AS        178 35.06 23.93 46.53% 6241.57 6.29%
BB Biotech 13/04/15 BBZA.F          60 55.53 56.35 -1.45% 3331.80 3.36%
BE Semiconductor Industries NV 04/02/15 BESI.AS        200 71.60 18.76 281.66% 14320.00 14.43%
Fiat Chrysler automobile 04/02/15 FCA.MI        480 14.62 8.44 73.19% 7017.60 7.07%
Picanol NV 04/02/15 PIC.BR          82 95.70 35.76 167.62% 7847.40 7.91%
Safran SA 04/02/15 SAF.PA          15 86.86 59.43 46.16% 1302.90 1.31%
La Doria SpA 04/02/15 LD.MI        350 16.83 10.75 56.56% 5890.50 5.94%
Holland Colours NV 04/02/15 HOLCO.AS          60 85.00 37.55 126.36% 5100.00 5.14%
Gaztransport & Technigaz... 04/02/15 GTT.PA        185 44.69 37.86 18.05% 8268.57 8.33%
Agfa-Gevaert NV 04/02/15 AGFB.BR     2,240 3.82 2.51 51.92% 8547.84 8.61%
Liquidités 118.35 0.12%
Valeur marchande du portefeuille 99234.74 100.00%

Finance Avenue 2017

En 2017 toutes les régions du monde ont renoué avec la croissance l’Amérique du Nord l’Europe et les émergents, cette tendance se prolongera et s’accéléra légèrement en 2018.

Si aux États-Unis il a été mis fin au ‘Quantitative Easing’ et la BCA a déjà augmenté les taux d’intérêt, Le QE est toujours d’application en Europe au Japon et en Suisse.
Le QE en Europe a déjà baissé de 80 milliards par mois à 60 milliards et à partir de 2018 il baissera à 30 milliards jusqu’en septembre 2018, c’est seulement alors que les taux d’intérêt pourraient remonter si les objectifs en termes d’inflation et de chômage sont rencontrés.

Quand le chômage baisse, la bourse monte avec un décalage, dans certains pays comme aux États-Unis ou en Allemagne, le niveau de plein emploi, moins de 5% de chômage, est atteint et l’emploi continue à progresser, et ceci avec des augmentations salariales modérées.

Les taux d’intérêt à 10 ans étaient en 2000 de 5% aux États-Unis et de 3% en Europe, en 2007 il était respectivement de 2,9% et de 2,3%, maintenant ils sont de 3,2% et 1,7%.

Au plus bas sont les taux obligataire, au plus haut la bourse monte et ceci est logique au plus le différentiel entre le taux sans risque 1% et le rendement boursier 7%, dividende de 3% compris, est important au plus les gestionnaires sont incités à arbitrer en faveur des actions d’autant plus que si les taux d’intérêt montent la valeur des obligations existante baisse.

Les particuliers détiennent toujours d’énormes masses d’argent sur des livrets d’épargne dont le maigre taux d’intérêt est largement plus bas que l’inflation, ils s’appauvrissent et perdent du pouvoir d’achat d’année en année.
Si une partie de cette masse d’argent quasi improductive se déplaçait vers de l’investissement productif et créateurs d’emploi, ils verraient leur pouvoir d’achat s’améliorer et cela aurait également un impact positif sur le PIB et l’emploi.
Beaucoup de particuliers considèrent que la bourse est risquée, mais le plus grand risque c’est de ne rien faire.

Sélection d’actions de Leleux Associated Brokers  

Leleux  sélectionne des actions sur base quantitative tant au niveau  des secteurs que des industries et finalement des actions particulières. Pour ce faire, ils classent les actions sur base du PER, du PB et des prévisions à 3 mois des analystes et ils ne retiennent que les 3 valeurs ayant par secteur le meilleur score, évidement chacune de ses valeurs est (in)validée par une étude approfondie des analystes.
Dans le secteur pétrolier par exemple les 3 valeurs ayant obtenu le meilleur score sont Repsol, OMV et Total.
Leur portefeuille modèle actuelle est constitué d’Aegon, Alstom, Arcelor Mittal, Bic, BMW, Bpost, Cap Gemini, Carrefour, Danone, Deutshe Telekom, Engie, Financière de Tubize, Nokia, Ontex, Proximus, Sanofi, Solvay, Royal Dutch Shell, Total, Wereldhave (Pays-Bas).

Débats des stratégistes

Cette année la plupart des secteurs ont enregistré une augmentation des bénéfices qui devrait perdurer en 2018. En Europe, avec une croissance boursière de 6-7%, la performance de la bourse américaine dépendra fortement de la réforme fiscale.
Le secteur technologique bénéficiera du retour aux bénéfices et les financières de la remontée des taux d’intérêt.
2018 devrait être une année positive au niveau mondial qui prolongera la croissance bénéficiaire de 2017.
Le seul risque pourrait-être une augmentation trop rapide des taux d’intérêt qui provoquerait par effet d’emballement un crash obligataire ce qui entrainerait une correction boursière.

À la bourse américaine les PER actuel sont de 17-18 et en Europe de 14-15 en l’an 2000 les PER étaient de 20.

Régulièrement nous entendons que la bourse est trop chère avec comme justification que le ratio CAPE de Schiller est trop élevé, mais ce ratio se calcul sur 10 ans ce qui correspond au début de la crise avec des bénéfices qui s’était effondrés, ce qui rend le calcul du CAPE actuel peu pertinent. Au moment de la conception du CAPE par Shiller il n’y avait pas de « big five » ou GAFAM (Apple, Facebook, Amazon, Alphabet et Microsoft) qui avec leur PER de 100 fausse le ratio.

Certains encense le Bitcoin et ses équivalents, mais peut-on vraiment parler de cash, avec des bitcoin vous ne pouvez pas vous payer une bière au bistrot du coin, ni acheter votre pain, pas plus que vous ne pouvez payer vos impôts. Le bitcoin n’est qu’une énorme bulle spéculative qui repose sur du vent et qui peut éclater à tout moment. La seule chose à retenir du bitcoin est la ‘Blockchain’ qui est promise à un bel avenir.

Le retour des particuliers à la bourse est encore marginal tout comme le retour de la consommation, ces deux vecteurs seront indubitablement moteurs de la croissance bénéficiaire et boursière future.

Sélections des stratégistes


  • Arnaud Delaunay, (Leleux Associated Brokers): Total, Royal Dutch Shell, Wereldhave (Pays-Bas), Aegon, Financière de Tubize (UCB), Arcelor Mittal
  • Vincent Juvyns (JP Morgan Asset Management): Secteur financier une hausse des taux de 1% aura un impact important sur le secteur tant en Europe qu’aux États-Unis. Le secteur technologique outre les « big fives » américaines, le secteur des composants en Europe et ailleurs devrait avoir le vent en poupe.
  • Youry Huygen (L’Investisseur) Vranken, les propriétés viticoles valent plus que sa capitalisation boursière, GBL, Vopak, Boskalis, D’Ieteren
  • Jean-Marie Caucheteux (Banque Degroof Petercam): Aedifica, NSI, AB Inbev, Ackermans & van Haaren, Galapagos
  • Rik Dhoest (Banque Nagelmackers): Ter Beke, X-Fab
  • Tom Simonts (KBC): Biocartis, Alibaba, Vestas
  • Erik Joly (AMRO Private Banking): Allergan, BMW.

2018 devrait être une nouvelle bonne année boursière (7-8%) cependant la hausse ne devrait pas atteindre le niveau de 2017.

D'ici peu vous  retrouvez mon portefeuille européen sur mon blog , suite à la fin de l'aventure d' Investir-a-la-bourse.com. La performance nette annualisée est actuellement de 30%.

Finance avenue 2016


Nous sommes entrés dans une période d’incertitude après le Brexit et l’élection de Trump vont suivre en décembre le référendum en Italie et en 2017, nous aurons les élections aux Pays-Bas, en France et en Allemagne.

Contrairement à ce qu’ont affirmé beaucoup d’analystes, la victoire de Trump n’a pas provoqué de chute à la bourse, mais après une première hésitation la bourse est remontée.

Des différentes déclarations de Trump parfois contradictoires, il ressort qu’il mènera une politique de relance via des grands travaux d’infrastructure qui en a bien besoin et en accroissant les dépenses militaires, tout en diminuant les impôts, ce qui implique un financement par la dette, une augmentation des taux d’intérêts et de l’inflation.

Les secteurs qui bénéficieront des Trumponomics, ce sont bien évidemment le secteur de la défense, des infrastructures et de la construction et les secteurs qui y sont liés tels que l’industrie et les matières premières.
Le secteur financier, faiblement valorisé aujourd’hui, bénéficiera de la hausse des intérêts et de la dérégulation.
Le secteur de la pharmacie qui ces derniers temps avait nettement baissé après les déclarations de Hillary Clinton sur le prix des médicaments reprend de la vigueur.
Le secteur immobilier pâtira de la hausse des taux d’intérêt ainsi que les quasi-obligations, comme le secteur des utilities ou de la consommation.
Le secteur de la technologie est lui victime de la rotation sectorielle.

L’attitude négationniste de Trump vis-à-vis du réchauffement climatique impactera négativement tout le secteur des énergies alternatives.

Le renvoi des immigrés est une promesse que Trump ne pourra pas tenir. Comment le mur à la frontière mexicaine sera bâti, alors que déjà maintenant le secteur de la construction est en pénurie, comment réalisera-t-il de grands travaux sans main-d’œuvre immigrée ?

Le protectionnisme se fera au détriment des entreprises du S&P500, déjà chèrement valorisée avec un PER de 21, la hauteur du PER est due à l’augmentation de leur valeur en bourse bien le rapide que l’augmentation des bénéfices. Les grandes entreprises exportent beaucoup plus (79%) que les petites valeurs (44,5%), il vaut donc mieux privilégier les actions du Russel 2000 qui ont essentiellement une activité domestique et qui sont bien moins valorisées que les grandes entreprises.

Ce qui est déjà qualifié de Trumponomics, grands travaux, défense,  immigration, protectionnisme et baisse des impôts devront avoir l’accord de la chambre des représentants et du sénat ainsi que de la Cour suprême et en ce qui concerne le protectionnisme de l’accord d’instance supranationale et de pays étrangers.
Les Trumponomics ne sont dans l’état actuel que de  vagues promesses, mal dégrossies qui ne verrons le jour pour certaines que dans de nombreux mois et années et pour d’autres jamais.

Conseils des Analystes


  • Arnaud Delaunay (Leleux) conseil d’investir aux États-Unis et cite des actions comme UCB et Ahold-Delhaize qui font respectivement 50% et 75% de leur chiffre d’affaires aux États-Unis, il cite aussi la pharmaceutique Sanofi, Royal Dutch Shell qui a un rendement brut de 7,5% et est moins dépendant du prix du pétrole que la plupart de ses concurrents et Atos  avec sa croissance bénéficiaire de plus de 10%.
  • Jean-Marie Caucheteux (Degroof Petercam) avance le nom de deux immobilières Xior le spécialiste du logement pour étudiant et Aedifica très présent dans le logement pour senior, il cite aussi Proximus, BPost qui est dans un processus d’acquisition de PostNL, Refresco une ‘cash cow’, ainsi que Solvay qui se tourne de plus en plus vers la chimie de spécialité à hauteur valeur ajoutée. 
  • Vincent Juvyns (JP Morgan) privilégie les actions ‘value’, le secteur financier, l’industrie et les matières premières ; il privilégie les financières Belges, Néerlandaises et Françaises telles que ING, KBC et BNP, il cite également Arcelor Mittal et Nyrstar, aux États-Unis il cite JP Morgan avec son PE de 14 et conseille les petites et moyennes capitalisations.
  • Sandra Vandersmissen  (BNP Paribas Fortis) cite RELX anciennement Reed Elsevier, un acteur des publications professionnelles, les États-Unis représentent 60% des ventes qui a réussi sa transition vers le numérique.
  • Gert Bakelants (L'Investisseur) choisi TomTom grand spécialiste des navigateurs GPS, ces produits sont déployés dans différents modèles de voiture dont les Tesla, l’arrivée de la voiture (semi) autonome est une opportunité pour TomTom qui collabore avec le producteur de cartes graphiques Nvidia.
  • Werner Wuyts (Dierickx Leys) : Ryanair leader des compagnies aériennes low-cost.
  • Tom Simonts (KBC Bolero) : Le groupe de construction BAM qui bénéficie de l’accroissement des travaux d’infrastructure et qui génère un cash-flow libre élevé 12,3% en 3017 et 15,1% en 2018.

Biotechnologies

Le secteur des biotechnologiques est un secteur en vogue chez les investisseurs, qui a connu une année 2016 difficile suite aux déclarations d’Hillary Clinton sur le prix des médicaments et qui maintenant est en train de se redressé. Parmi les biotechnologiques Belges les intervenants mettent en avant arGEN-X, Galapagos, Ablynx, MDXH et Biocartis.
Le secteur biotechnologique est un secteur difficile avec de fortes variations de cours, pourtant un investisseur qui se serait constitué un portefeuille équipondéré en achetant lors de l’introduction en bourse, aurait eu un rendement de 19%, dans ce secteur la diversification est primordiale. Il faut privilégier les sociétés avec plusieurs produits dans leur pipeline et avec des produits en phase III. Les biotechs brûlent également beaucoup de cash et il vaut mieux choisir des biotechs qui ont assez de cash pour tenir 2 à 3 ans, sans quoi le risque de se faire dilué lors d’une augmentation de capital est grand, la société peut aussi conclure des accords avec une pharma et bénéficier de milestones qui viendront augmenter son cash. Une biotech peut aussi être rachetée par un groupe pharmaceutique.

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Budget 2017, quel impact pour l'actionnaire

Le gouvernement belge vient de déposer son nouveau budget pour l'année 2017.

Parmi toutes les mesures prises, 2 intéressent plus particulièrement l'actionnaire.
  • Le précompte immobilier est porté de 27% à 30% soit une augmentation de 11,11%, rappelons que l'augmentation en 10 ans est de 100%
  • La taxe sur les opérations boursière ou TOB est inchangée, mais le plafond de la taxe est multipliée par 2, il passe de 800€ à 1600€. Rappelons qu'il s'agit d'une taxation sur le capital qui à l'origine correspondait à une taxe forfaitaire sur la plus-value, il y a 10 ans cette taxe était 0,17%, soit une augmentation de 59%. Désormais, la TOB sera   également due, si vous utilisez une plate-forme située à l'étranger.
D'autres mesures, aujourd'hui reportée, auront un impact sur l'investisseur, diminution de l'impôt des sociétés, taxe sur la plus-value, mobilisation de l'épargne pour l’investissement dans l'économie réelle.

Rappelons, qu'en tant que copropriétaire, l'actionnaire paie également l'impôt des sociétés de 33,99%.

Historiquement il n'y avait pas d'impôt des sociétés, l'ISOC est institué en Belgique par la loi de 1962, en réalité il s'agissait d'un prélèvement provisionnel, et le contribuable bénéficiait d'un crédit d'impôt à due concurrence. Cumuler l'impôt des sociétés majorées du précompte mobilier correspondait au barème maximum de l'impôt des personnes physiques de 50%.
Depuis 1983 la taxation des dividendes se transforme en précompte mobilier libératoire.

Aujourd'hui l'impôt des sociétés est totalement déconnecté de l'impôt des personnes physique alors qu'in fine une société est toujours détenue par une personne physique.

Si nous totalisons tous les impôts qui reposent sur l'actionnaire et en transformant l'impôt sur le capital en un impôt sur le revenu, quel est l'impôt total qui repose sur l'actionnaire, c'est à cette question que j'ai essayé de répondre.

  • L'actionnaire, en tant que copropriétaire d'une entreprise, paie l'impôt des sociétés de 33,99%.
  • Lors de l'achat ou la vente d'une action, l'actionnaire paie un impôt sur le capital appelé taxe sur les opérations boursières ou TOB de 0,27%. 
  • Sur le dividende, l'actionnaire paie un précompte mobilier libératoire de 30%, augmentation de 11,11% par rapport à l'année précédente.

Pour ce calcul, j'ai pris en considération un investissement moyen:
  • Investissement de 1000 euro
  •  Temps de détention d'une action: 1 an
  • Dividende de 2% soit 20€
  • Retour total 6%, y compris le dividende, soit 4% de gain boursier, produit de la vente 1040€
  • Impôt des sociétés de 33,99%
  • Frais de transaction 6€

Le taux total d'imposition est calculé pour les années 2016 et 2017 

2016 2017
TOB achat 0.27% 2.7 -2.70 0.27% 2.7 -2.70
Frais achat -6.00 -6.00
Impôt des sociétés 33.99% 20.39 -20.39 33.99% 20.39 -20.39
Précompte mobilier 27.00% 5.40 -5.40 30.00% 6.00 -6.00
TOB Vente 0.27% 2.81 -2.81 0.27% 2.81 -2.81
Frais vente -6.00 -6.00
Total frais -12.00 -12.00
Total Impôts et taxes -31.30 -31.90
Ventes 1040 1040
Dividende net 14.60 14.00
Net 11.30 10.10
Net en % 1.1298% 1.0098%
Taux d'imposition 78.26% 79.76%
Avec un taux d'imposition de 78,26% en 2016 et 79.76% en 2017 nous sommes bien au-dessus de la tranche maximum du taux d'impôt sur le revenu de 50%.

Calculons maintenant le taux imposition d'une entreprise qui a le même rendement total de 6% mais, qui ne distribue pas de dividende.
2016 2017
TOB achat 0.27% 2.7 -2.70 0.27% 2.7 -2.70
Frais achat -6.00 -6.00
Impôt des sociétés 33.99% 20.39 -20.39 33.99% 20.39 -20.39
Précompte mobilier 27.00% 0.00 0.00 30.00% 0.00 0.00
TOB Vente 0.27% 2.86 -2.86 0.27% 2.86 -2.86
Frais vente -6.00 -6.00
Total frais -12.00 -12.00
Total Impôts et taxes -25.96 -25.96
Ventes 1060 1060
Dividende net 0.00 0.00
Net 22.04 22.04
Net en % 2.2044% 2.2044%
Taux d'imposition 43.26% 43.26%
Nous voyons que la hauteur du dividende à un impact important sur le rendement net et le taux d'imposition. Dans ce cas ci pas de changement.

Nous avons fait un choix d’investissement judicieux, le rendement total brut est de 12% dont 20% sous forme de dividende.
2016 2017
TOB achat 0.27% 2.7 -2.70 0.27% 2.7 -2.70
Frais achat -6.00 -6.00
Impôt des sociétés 33.99% 40.79 -40.79 33.99% 40.79 -40.79
Précompte mobilier 27.00% 6.48 -6.48 30.00% 7.20 -7.20
TOB Vente 0.27% 2.96 -2.96 0.27% 2.96 -2.96
Frais vente -6.00 -6.00
Total frais -12.00 -12.00
Total Impôts et taxes -52.93 -53.65
Ventes 1096 1096
Dividende net 17.52 16.80
Net 48.59 47.15
Net en % 4.8593% 4.7153%
Taux d'imposition 55.13% 55.88%
Ceci illustre que pour maximiser son rendement, pour des raisons fiscale, il vaut mieux choisir des entreprises ayant un bon rendement et distribuant peu de dividendes.

La fiscalité à un impact majeur sur le rendement total, il est important de ne la minimiser.

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Patrick.